AFREECA

EXPO AFREECA – SD 480 p

Exposition AFREECA à la chapelle des Beaumettes du 30 Mai au 23 juin 2019.

 

L’exposition réunit cinq artistes du continent africain qui donnent une libre expression artistique de leurs identités africaines.

 

Ayanda Mabulu, Sud-africain, vit à Johannesburg. Il porte un regard satirique sur la gouvernance de son pays, les travers, les abus, avec un style fort, engagé, un pinceau qui dénonce les forfaitures d’un système. 

 

Siriky KY, né en Côte d’Ivoire, vit au Burkina Faso. Sa technique très épurée décrit son pays par des sculptures uniques en bronze. Sa nouvelle série des «Têtes précieuses» offre un regard testimonial de la représentation de l’Homme africain. Les traits des visages, marqués, meurtris, scarifiés montrent la beauté de ces êtres ordinaires avec la puissance de la représentation que l’on ferait d’un monarque ou d’un Dieu.

 

Nyaba Leon OUEDRAOGO, Burkinabé, vit à Paris, photographe. Il livre un récit en images des traditions et de l’état de la civilisation actuelle de pays de l’Afrique de l’Ouest. Les fantômes du Fleuve Congo, les hommes peints de peinture tribale, la jeunesse congolaise dans un pays verdoyant.

 

Mamady Seydi,sénégalais, vit à Mbour. Il donne une note de sagesse et d’humour à ses sculptures, les animaux de la jungle ont remplacé les humains pour leur donner un caractère universel. Chaque installation est l’illustration d’un proverbe Wolof qui traduit la façon de pensée d’un sage.

 

Dominique Zinkpè, Béninois,vit à Cotonou. Il apporte une vision personnelle des différents continents. Le masque dans la statuaire africaine est un visage de l’acteur, il dissimule la vérité. Dans sa série des continents démasqués, Dominique nous livre une mise en scène des clichés qui symbolisent la richesse des peuples de ces continents.

 

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FNB Art fair, Johannesbourg du 22 au 24 août 2014

Bonjour,
Voici le programme de la galerie pour notre exposition à Johannesbourg, pendant la FNB Art Fair, la troisième année de notre présence au Sandton Convention Center.

Cette année, trois artistes sud-africains :

– Huw MORRIS, un photographe, déjà présent à la galerie depuis le début de l’année avec un grand succès pour sa série « So, this is Desire? », une série de onze photos traitant des sujets dérangeants de la jalousie pendant la période de l’Apartheid en Afrique du Sud. Jalousie de couple mais aussi affectueuse par rapport aux enfants et leur connivence avec les domestiques. La nouvelle série s’appelle « Litmus » mais chuttt, c’est encore en préparation donc un peu de patience pour les premieres infos. (Crédits photos Huw Morris)

-Bruce CLARKE, peintre engagé dans lutte contre l’Apartheid à partir de son studio parisien, notamment aux côté d’Ernest Pignon Ernest et Velicovik lors de l’élection de Nelson Mandela en 1994. Il se consacre maintenant aux droits de l’homme et notamment via sa très importante exposition simultanée pour la commémoration des 20 ans du génocide des Tutsis au Rwanda. Voir la vidéo sur le site : https://sites.google.com/site/uprightmenrwanda/les-hommes-debout/l-artiste (Crédits photos Bruce Clarke)

-Andries BOTHA, sculpteur sud-africain engagé et déterminé, notamment dans la protection des éléphants mais pas seulement pour une approche de protection de la nature mais pour la liberté et la puissance que l’animal procure. Une sculpture représentant un éléphanteau, relié à l’Univers par un cordon ombilical qui vient de rompre sera la pièce majeure. Il y aura également une imposante photo, (110×240 cm) représenta la radiographie d’une sculpture présentée en Hollande en 2012 (voir video ici : https://www.youtube.com/watch?v=uRR6sBMBxSo ) (crédit photos Patrick McGee)

Blessures d’Afrique

Au travers du regard de quelques artistes reconnus, nous vous présentons depuis deux ans, la vie, la souffrance et l’indifférence du monde au continent Africain.

En 2012, Pierre Mathieu artiste français appelait notre conscience à l’univers des déchets dont les pollueurs de la planète se débarrassent en Afrique en nous proposant des sculptures en matériaux recyclés.

En 2013, nous vous avons montré la guerre des Frontières (Bush War) entre la Namibie, L’Angola et l’Afrique du Sud, guerre tenue secrète pendant plus de 30 ans lors des Rencontres d’Arles  vue, analysée, scénographies et photographies par Christo Doherty.

Nous vous avons soumis le regard du photographe Robin Hammond sur le Mozambique et ses ouvriers des mines d’Or, sur le Zimbabwe et les sévices exercés sur les prisonniers du régime Mugabe.

Nous vous avons proposé des photographies composées des présidents d’Afrique du Sud et de Johannesburg par André S. Clements.

Nous vous avons livré les images du travail des enfants au Ghana et Burkina Faso par Nyaba Leon Ouedraogo.

En 2014, Nous soumettons à votre attention une histoire en 11 photos de la vie d’une famille afrikaner dans les années Apartheid écrite et réalisée par Huw Morris.

Prochainement, nous présenterons le travail des Hommes debout, sur les droits de l’homme au Rwanda par Bruce Clarke.

Nous nous adressons à votre sensibilité pour la défense animalière en présentant les œuvres  sur la condition d’être vivant de l’éléphant par l’artiste Andries Botha (Elephant human rights Foundation).

Comment oublier que la vie a commencé en Afrique ? Les blessures de l’Afrique sont nos blessures.

Exposition CAS

– C.A.S. –

(Composite Afrique du Sud)
Arles 2013,
du 30 juin au 13 juillet.

COMPOSITE / adj. formé d’éléments très divers : hétéroclite. Matériau composite, ou composite, n.m. : matériau formé de plusieurs composants distincts dont l’association confère à l’ensemble des propriétés qu’aucun des composants pris séparément ne possède.
Le Petit Larousse

Quelles images de l’Afrique du Sud habitent notre imaginaire collectif ? Des grands éléphants dans des réserves magnifiques à la jungle urbaine du centre de Johannesbourg, du luxe des stations balnéaires ou de Sun City à la pauvreté des townships de Soweto ou d’Alexandra, ce sont des univers juxtaposés qui s’ignorent lorsqu’ils ne s’affrontent pas. L’Afrique du Sud est hétérogène.

Jean-Christophe Ballot travaille sur ces thèmes en les transportant en oeuvres resserrées, au graphisme surprenant ou en établissant de saisissant rapprochements sous la forme de triptyques. Il revisite ces clichés collectifs, en les détourant habilement, loin du reportage ou du constat social, il met l’histoire en tableau, celle d’une Afrique où les animaux pétrifiés sont devenus des sculptures, où la ville est parcourue par des signes, des affiches, des bouteilles géantes. Il questionne le luxe de Sun Citi, il révèle en une vision expressionniste la beauté contenue dans la pauvreté, la précarité des townships.
Par ces rapprochements visuels d’une Afrique éclatée, décalée de nos attentes, il nous surprend en nous livrant cette vision d’une Afrique du Sud composite.

Ces prises de vue ont été réalisées dans le cadres des « Saisons France-Afrique du Sud » en septembre 2012 avec le soutien de l’Institut de France.

Lieu :
Hotel Particlier F. DERVIEUX
5. rue de Vernon
13200 – Arles

Vernissage ouvert au public le 2 juillet en présence de l’artiste à partir de 18h30

Cette exposition sera à nouveau visible sur le stand de notre galerie à la foire d’art contemporain FNB Art Fair à Johannesbourg du 27 au 29 septembre

00h58 xy

Dans le cadre du Festival de poésie de l’Isle sur la Sorgue, « Trace de poète », Marie-Laetitia Gerval présentera dans notre galerie ses photographies (tirages et projection de photographies extraites de l’ouvrage « 00h58 xy ») elle dédicacera son livre au cours de la soirée, une lectrice vous fera découvrir également les textes poétiques de l’artiste extraits de « 00h58 xy ».